«Toutes les subventions que nous avons eues, c'est la Ville qui est allée les chercher, assure-t-il. La job de l'opposition, ça ne semble être que critiquer le gouvernement. Et vous, je ne sais pas si ça vous tenterait de donner de l'argent où vous vous faites critiquer à tous les jours. Quand on est dans l'opposition et qu'on est critique sur un paquet de choses, c'est ça que ça donne. Je ne pense pas que M. Bonnardel sera surpris de m'entendre dire ça. C'est un état de fait.»
− Richard Goulet, à propos de François Bonnardel, 14 décembre 2011
Aujourd'hui, le combat de longue date pour un lien routier entre la 10 et la 20 de François Bonnardel commmence à rapporter. Il avait même réussi à s'allier avec le député Libéral − le parti au pouvoir − de Brome-Missisquoi, Pierre Paradis pour la cause. Le ministère des Transports investira pour étudier ce projet.
La phrase suivante ne tient donc plus: «Toutes les subventions que nous avons eues, c'est la Ville qui est allée les chercher»1. Le travail de François Bonnardel amène le gouvernement à investir chez nous. Donc, pour que la pensée de Richard Goulet puisse garder une certaine logique, c'est-à-dire qu'un parti à l'opposition n'apporte rien, il faut que le projet ne soit pas bon! Effectivement, selon Richard Goulet:
«Je n'ai rien contre le projet; ça doit faire 30 ans qu'on en parle. Mais je pense que la priorité du Ministère devrait d'abord être l'élargissement de la route 139 à Granby, à partir de l'autoroute 10 jusqu'à la rue Dufferin. Avant de partir de nouveaux projets, on devrait d'abord régler ceux qui existent déjà»
«Complétons financièrement un projet avant d'en partir un autre»
«L'activité économique se fait plus d'est en ouest que du nord au sud» [Évidemment, puisqu'il n'y a pas de lien routier! Allô!]
Le plus drôle, c'est qu'un lien routier entre la 10 et la 20, qui passe par Granby, va nécessairement passer par la 139. L'élargissement de la 139 et le lien routier, c'est le même combat. Mais jamais Richard Goulet ne pourra admettre que quelqu'un d'autre a raison; surtout si Richard Goulet s'en est déjà servi comme «tapis de porte» (voir ici et ici); enfin selon SA définition de traiter quelqu'un comme un «tapis de porte».
Finalement, pour ce qui en est des propos suivants:
« Avant de partir de nouveaux projets, on devrait d'abord régler ceux qui existent déjà »
«Complétons financièrement un projet avant d'en partir un autre»
Nul besoin de noter le paradoxe que c'est Richard Goulet qui tient ces propos.
1 En fait, ce ne serait pas tout à fait vrai si on se fie cet article. «M. Bonnardel a réussi en cours de mandat à arracher, à force de travail, une subvention de 1 million de dollars pour des infrastructures sportives».
La phrase suivante ne tient donc plus: «Toutes les subventions que nous avons eues, c'est la Ville qui est allée les chercher»1. Le travail de François Bonnardel amène le gouvernement à investir chez nous. Donc, pour que la pensée de Richard Goulet puisse garder une certaine logique, c'est-à-dire qu'un parti à l'opposition n'apporte rien, il faut que le projet ne soit pas bon! Effectivement, selon Richard Goulet:
«Je n'ai rien contre le projet; ça doit faire 30 ans qu'on en parle. Mais je pense que la priorité du Ministère devrait d'abord être l'élargissement de la route 139 à Granby, à partir de l'autoroute 10 jusqu'à la rue Dufferin. Avant de partir de nouveaux projets, on devrait d'abord régler ceux qui existent déjà»
«Complétons financièrement un projet avant d'en partir un autre»
«L'activité économique se fait plus d'est en ouest que du nord au sud» [Évidemment, puisqu'il n'y a pas de lien routier! Allô!]
Le plus drôle, c'est qu'un lien routier entre la 10 et la 20, qui passe par Granby, va nécessairement passer par la 139. L'élargissement de la 139 et le lien routier, c'est le même combat. Mais jamais Richard Goulet ne pourra admettre que quelqu'un d'autre a raison; surtout si Richard Goulet s'en est déjà servi comme «tapis de porte» (voir ici et ici); enfin selon SA définition de traiter quelqu'un comme un «tapis de porte».
Finalement, pour ce qui en est des propos suivants:
« Avant de partir de nouveaux projets, on devrait d'abord régler ceux qui existent déjà »
«Complétons financièrement un projet avant d'en partir un autre»
Nul besoin de noter le paradoxe que c'est Richard Goulet qui tient ces propos.
1 En fait, ce ne serait pas tout à fait vrai si on se fie cet article. «M. Bonnardel a réussi en cours de mandat à arracher, à force de travail, une subvention de 1 million de dollars pour des infrastructures sportives».
À QUI LE DIS-TU !!!!!!
RépondreSupprimer... et si le prochain député du compté au pouvoir est Francois Bornardel, qu'allez vous faire monsieur le maire ? Il est vrai que vous avez l'habitude des pirouettes. Un jour vous faites des discours pour appuyer le oui à la séparation du Québec, le lendemain vous incitez, totalement illégitimement, les citoyens de Granby à voter libéral et demain Québec Solidaire tant qu'à y être. On n'est pas la l'un de vos sophisme près.
RépondreSupprimerJ'aimerai voir une étude sur la distribution des subventions par Québec. D'après moi c'est au pro-rata de la population des villes. Granby reçoit ça pars comme toutes les autres au pro-rata et non parce que leurs projets sont si magnifique.
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