Aujourd'hui, je lisais Le Plus et j'ai bien apprécié l'article Fêter sans s'endetter.
Dans cet article il y a une solution proposée pour éviter de s'endetter pour les achats des fêtes et ça va comme suit:
L'ACEF Montérégie-Est propose quelques pistes de solutions pour éviter de succomber à la tentation de crouler sous le surendettement. En fait, l'organisme propose de faire exactement l'exercice inverse du remboursement d'un solde de carte de crédit, mais sans les intérêts: l'économie.
"Ceux qui tiennent à offrir des cadeaux auraient tout intérêt à établir un budget des fêtes, mais quelques mois avant le 25 décembre, explique Roger Lafrance. Ce faisant, ils auraient amplement le temps de mettre l'argent nécessaire de côté pour payer la facture."
Ceci pourrait être un excellent résumé du document d'une vingtaine de pages que j'ai déposé au conseil le 16 novembre dernier, intitulé Payer comptant. La seule différence entre faire les paiements avant et après les achats, est que ceux effectués après les achats ont des intérêts en plus. Donc, si on a les moyens de faire des paiements après les achats, il est encore plus facile de les faire avant les achats, soit d'économiser. Et comme les Fêtes reviennent à chaque année et à la même date, c'est difficile de dire qu'on a été pris par surprise. La même logique s'applique pour les infrastructures d'une ville: une rue ne se détériore pas du jour au lendemain et le besoin pour un nouvel aréna n'apparaît pas subitement non plus.
Une nouvelle suggestion: Il devrait être obligatoire pour tous les membres du conseil de suivre un atelier organisé par l'ACEF sur la préparation d'un budget. L'organisme peut être joint au (450) 375-1443.
Je suis bien d'accord avec vous. Les conseillers élus devraient apprendre au moins l'ABC d'une bonne gestion administrative et les postulants à la mairie devraient avoir 1) un CV bien garni dans le domaine et 2) suivre une formation de mise à date des tangentes de l'économie nationale et internationale. En ce moment, chez la majorité de nos élus et particulièrement chez le maire, c'est la déprimante pauvreté absolue au niveau gestion. Comme quoi, ce n'est pas parce qu'un individu possède une "grande queule" qu'il peut bien diriger la destinée d'une municipalité (c'est un travail de plus en plus complexe qui demande une capacité et formation peu commune).
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