Vous rappelez-vous lorsque la ville de Granby avait été promue «la ville du bonheur» en 2005? Le maire Guy Racine avait à l'époque sauté sur l'occasion pour faire la promotion de notre ville. Ce genre de campagne de marketing n'est pas vraiment ma tasse de thé, mais je crois toujours que la population a été dure envers lui. Pourquoi a-t-il été aussi ridiculisé pour avoir dit que Granby est la «ville du bonheur» (établi par une étude indépendante) alors que Richard Goulet auto-proclame Granby comme étant une «ville rayonnante»? Pour promovoir leur image respective, Racine a dépensé environ 25 000 $ et Goulet environ 600 000 $. C'est à n'y rien comprendre.
Cette brève introduction sert à présenter les derniers résultats de l'IRB. De cette première place que nous détenions en 2005, nous étions rendu en 5e place en 2009 et 2010 pour finalement prendre fièrement la 13e place cette année.
La joie d'être dans la moyenne
Pourquoi doit-on être fier? C'est que nous avons atteint un objectif longtemps prisé par notre maire: Nous avons atteint exactement le pointage moyen québécois, soit un IRB de 76.10.
Nous sommes dans la moyenne!
Ceci représente bien la tendance de la ville de Granby ces dernières années: Amener la ville de Granby dans la moyenne québécoise, quitte à nous rabaisser. On le fait avec le taux de taxation, le taux d'endettement et le salaire des élus, alors pourquoi pas avec le bonheur des citoyens?
Certains d'entre nous ne sont pas capables de prendre la pression d'être au sommet, ils préfèrent être comme les autres. C'est la différence entre les leaders et les moutons.
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