Aujourd’hui dans La Voix de l’Est, on peut lire ce qui suit :
« D’où le fait que Val-des-Cerfs ne regrette pas d’avoir fermé l’école Saint-Benoît, au centre-ville, en septembre 2007. "Les écoles au sud débordent, mais il y a de la place dans celles du centre-ville, plaide Alain Lecours, directeur général de la commission scolaire. Nous sommes bien loin de parler de rouvrir une école." »
À l’époque, on se souviendra, l’ancien conseil municipal avait voté en faveur de ne pas s’ingérer dans l’administration de la commission scolaire. Cette dernière possède un conseil élu par la population, avec une tribune publique pour tout citoyen qui veut s'exprimer au sujet de l’éducation et des écoles. De plus, les commissaires sont au fait des différents dossiers, alors que les élus municipaux n’en ont aucune idée.
Mais Richard Goulet, fraîchement élu, savait comment gérer la commission scolaire. Il leur a donc donné 50 000$ pour maintenir l’école Saint-Benoît ouverte une année supplémentaire. Sa vision de l’époque était que les nouveaux logements sociaux de la rue St-Jean, dédiés aux familles, contribueraient à remplir les écoles du centre-ville. Aujourd’hui, le nouveau conseil des commissaires scolaires – bien qu’il ait une meilleure entente avec le conseil municipal que l’ancien - nous confirme que la décision de fermer l’école Saint-Benoît était la meilleure. Une autre vision qui ne tient pas la route, un 50 000$ de moins dans les poches des citoyens.
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